On s’y met, on y croit et on est vite déçu.e de soi et de ses capacités à apprendre. On met ça sur le compte de l’âge (« j’ai plus vingt ans »👶), du temps qui nous manque (« je suis débordé.e⌚), de l’énergie qui fait elle aussi défaut (« encore K.O. ce soir ! 🥊»). Mais en réalité, il s’agirait de peu pour toucher du doigt puis à pleines mains, son rêve d’être un jour à l’aise dans cette langue qui nous échappe encore (l’anglais souvent, mais aussi toute autre langue).
J’ai donc entrepris de décortiquer ce qui nous menace de l’échec. Et pour bien faire mon job, j’ai décidé comme beaucoup d’apprendre une nouvelle langue, entre autres pour m’assurer de pouvoir me mettre à la place de mes apprenants.
Mais peut-être avez-vous déjà une idée de ce qui, chez vous, vous empêche d’y croire jusqu’au bout...
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